Del conjunto llamado"Les amies"
Et l’enfant répondit, pâmée Y la niña respondió, pasmada
Sous la fourmillante caresse ante la hormigueante caricia
De sa pantelante maîtresse: de su jadeante maestra:
«Je me meurs, ô ma bien-aimée! "¡Me muero, oh, mi bienamada!
Je me meurs; ta gorge enflammée Me muero. Tu garganta en llamas,
Et lourde me soûle et m’oppresse; cargante, me harta y me oprime;
Ta forte chair d’où sort l’ivresse tu dura carne, que destila embriaguez,
Est étrangement parfumée; está extrañamente perfumada.
Elle a, ta chair, le charme sombre Tu carne posee el sombrío encanto
Sous la fourmillante caresse ante la hormigueante caricia
De sa pantelante maîtresse: de su jadeante maestra:
«Je me meurs, ô ma bien-aimée! "¡Me muero, oh, mi bienamada!
Je me meurs; ta gorge enflammée Me muero. Tu garganta en llamas,
Et lourde me soûle et m’oppresse; cargante, me harta y me oprime;
Ta forte chair d’où sort l’ivresse tu dura carne, que destila embriaguez,
Est étrangement parfumée; está extrañamente perfumada.
Elle a, ta chair, le charme sombre Tu carne posee el sombrío encanto
Des maturités estivales, -- de la madurez estival
Elle en a l’ambre, elle en a l’ombre; -posee el ámbar, posee la oscuridad.
Ta voix tonne dans les rafales, Tu voz truena en las ráfagas,
Et ta chevelure sanglante y tu cabellera sangrante
Luit brusquement dans la nuit lente.» reluce bruscamente en la lenta noche."
Elle en a l’ambre, elle en a l’ombre; -posee el ámbar, posee la oscuridad.
Ta voix tonne dans les rafales, Tu voz truena en las ráfagas,
Et ta chevelure sanglante y tu cabellera sangrante
Luit brusquement dans la nuit lente.» reluce bruscamente en la lenta noche."
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