PAN
Del libro “Les trophées”
A travers les halliers, par les chemins secrets Entre los
arbustos, por los caminos secretos
Qui se perdent au fond des vertes avenues, que se extravían al final de las verdes avenidas,
Le Chèvre-pied, divin chasseur de Nymphes nues, el sátiro, cazador divino de ninfas desnudas,
Se glisse, l'oeil ardent, sous les hautes forêts. se desliza, la mirada ardiente, bajo los altos bosques.
Il est doux d'écouter les soupirs, les bruits frais Es dulce escuchar los suspiros, los sonidos de frescor
Qui se perdent au fond des vertes avenues, que se extravían al final de las verdes avenidas,
Le Chèvre-pied, divin chasseur de Nymphes nues, el sátiro, cazador divino de ninfas desnudas,
Se glisse, l'oeil ardent, sous les hautes forêts. se desliza, la mirada ardiente, bajo los altos bosques.
Il est doux d'écouter les soupirs, les bruits frais Es dulce escuchar los suspiros, los sonidos de frescor
Qui montent à midi des sources inconnues que a mediodía se
elevan de las fuentes desconocidas
Quant le Soleil, vainqueur étincelant des nues, cuando el sol, radiante vencedor de las nubes,
Dans la mouvante nuit darde l'or de ses traits. en la mutable noche arroja sus dardos de oro.
Une Nymphe s'égare et s'arrête. Elle écoute Una ninfa se despista y se relaja. Escucha
Quant le Soleil, vainqueur étincelant des nues, cuando el sol, radiante vencedor de las nubes,
Dans la mouvante nuit darde l'or de ses traits. en la mutable noche arroja sus dardos de oro.
Une Nymphe s'égare et s'arrête. Elle écoute Una ninfa se despista y se relaja. Escucha
Les larmes du matin qui pleuvent goutte à goutte las
lágrimas de la mañana que caen gota a gota
Sur la mousse. L'ivresse emplit son jeune coeur. sobre la hierba. La embriaguez colma su corazón joven.
Mais, d'un seul bond, le Dieu du noir taillis s'élance, Pero, de un salto, el dios se abalanza desde negros matorrales,
La saisit, frappe l'air de son rire moqueur, la agarra, espanta el aire con su risa burlona,
Disparaît... Et les bois retombent au silence. desaparece… Y de los bosques vuelve a adueñarse el silencio.
Sur la mousse. L'ivresse emplit son jeune coeur. sobre la hierba. La embriaguez colma su corazón joven.
Mais, d'un seul bond, le Dieu du noir taillis s'élance, Pero, de un salto, el dios se abalanza desde negros matorrales,
La saisit, frappe l'air de son rire moqueur, la agarra, espanta el aire con su risa burlona,
Disparaît... Et les bois retombent au silence. desaparece… Y de los bosques vuelve a adueñarse el silencio.
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